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 Le délice de son supplice [PV Itachi]

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Senshou Shana

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Senshou Shana


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Le délice de son supplice [PV Itachi] Img224206ug36sef07/40Le délice de son supplice [PV Itachi] Sans_t11  (7/40)
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MessageSujet: Le délice de son supplice [PV Itachi]   Le délice de son supplice [PV Itachi] EmptyLun 26 Juil - 2:15

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La malice visse
L'Alice du vice
Au mal lissé
Des fleurs de lys.



Des pétales dans les yeux qui étalent le creux de son voeu malheureux voue une perfection à son obtention. L'homme blanc regardait et notait le moindre mouvement de la Chose. Celle-ci tremblotait par moments, tout en conservant des iris frappants qui électrocutaient tout sur leur passage. Des joyaux violacés dansaient au coeur des marées violentes de flemmes ardentes. Son faciès se frappait continuellement sur la paroi de l'immense sphère. Une ère de répétitions parmi les actes de la victime encouragea le scientifique à s'asseoir afin de reposer ses pauvres jambes. Une table remplie de fioles et de paperasses lui servait tous les jours, pendant que la bête assoiffé de se tuer elle-même se débattait dans sa pauvre demeure. De toute façon, la décoration était propagé entièrement par elle. Les murs étaient constitués d'un carrelage blanc et impeccable, de même qu'il était très dur. Deux portes conduisaient à des couloirs sombres au sud et au nord. La bulle de la Chose occupait le milieu de l'endroit. Des tuyaus permettaient à l'homme blanc d'effectuer diverses expériences. Il continuait malgré tout de s'accaparer une tunique entièrement hermétique et blanche, puisque les couleurs sombres excitaient la créature déjà vacillante. La sphère transparent avait son propre réseau d'aération. Sa paroi transparente retransmettait les sons émanant de la Chose. Toutefois, celle-ci portait un voile sur le bas du visage afin de la museler. Dès le début, l'homme blanc avait dû l'encadrer de plusieurs médicaments pour l'endormir très longtemps et l'afflaiblir. Ses poignets étaient enchaînés au sommet de la bulle, de même que ses chevilles ne pouvaient pas se déplacer sous peine de tirer davantage sur ses chaînes pour se faire saigner. Ses débattements ne cessaient jamais. Seul l'épuisement total la mettait inconsciente quelques moments. Son corps, blessé par tout et pour tout de la part de l'homme blanc, ruisselait de couleurs riches. Celles-ci se reflétaient sur toutes les parois de la pièces, baignant ainsi le laboratoire d'un arc-en-ciel permanent. De longues manches blanches et déchirées vêtissaient ses bras partiellement, de ses épaules à ses poignets mutilés tant de fois. La chair pâle et vampirique laissaient des tons exotiques fleurir sur la moindre intimité découverte aux yeux pervers de la science. Sa maigreur était à pleurer, considréant ses côtes uniquement voilées d'un filet noir très présentes. Ses hanches portaient des dessous de dentelles visibles tenant malgré tout. Son buste vêtu de blanc, court et déchiré, ne cachait guère son passé. Les mots d'injures écrivaient des cicatrices imposantes et morbides chez la créature. Le voile se nouait sur sa nuque, pendant que sa chevelure nue reposait jusqu'au creux de ses cuisses saignantes. Bordée d'un noir d'encre et d'un violet éparses par instants, son visage portait des taches sombres. Le bourgogne muait en moult aurores, tandis qu'un bleu pastel parlait sur ses pores d'illusions. La voleuse de couleurs tenta de rugir, de déchirer ce qui la bloquait encore une fois. Elle se mit à se trémousser sous tous les angles, se frapppant elle-même. Le scientifique devint gêné par son insistane. Il songea à commencer une expérience, mais il attendit quelques minutes de plus. La Chose sauta sur place en l'air. Les immenses clous commencèrent à paraître moins solide aux yeux du scientifique qui recula sur sa chaise. Elle, rayonnante et impressionnante, montra toute son immondicité. Des effluves commencèrent à se propager de sa chair. Chacune exhala des rayons scntillants meurtriers puis libéra des monstres ailés composé de flammèches dorées au gaz rose. La créature se mit à taper infernalement avec ses pieds, ensemble ou sur son corps. Elle se martyrisait de ses propres coups. C'est alors que le foulard sur le bas de son visage tomba légèrement, mais sans libérer son visage complètement. L'homme se redressa complètement, tandis qu'un rugissement tonitruant fit une fanfare naturelle de notes étincelantes. La montée du fauve de la jouvencelle se révéla par un cri qui ébranla toute la structure de l'établissement caché sous l'aspect d'une serre. Se préparant à crier encore plus fort, le rugissement bestial égale celui des fauves du désert pour paraître tout autant naturel. Le corps jubilait sur place, éris d'un déésir fou de déchirer ses liens pour dévorer le scientifique. En vérité, cet humain pathétique ne méritait que son propre traitement. Désabusée de la vengeance des autres, la Chose tua ses cordes vocales entièrement lors d'un hurlement bestial ultime. Les vibrations firent craquer quelques fioles, alors que les changements climatiques de la chair de la jouvencelle possédaient de plus en plus de violence et d'aggressivité au coeur de leurs variations.

Le rugissement retenu depuis des jours affamés et cinglés sonna jusqu'à l'homme qui se mit à injurier la créature. L'homme blanc tira sur ses gants, triturant la table pour retenir son exaspération devant l'impossibilité de maîtriser sa seule candidate disponible, sa seule proie accessible pour le résultat demandé. Depuis un an, jour pour jour, cet homme s'évertuait à expérimenter par tous les moyens la moindre fissure dans cette carapace pour trouver le remède. Il arriva à la table qui commandait les contrôles de son invention. En appuyant sur une manivelle argenté, les jambes de la créature furent libérées. La chose se recroquevilla en désarticulant son bassin par l'arrière. Mettant ses pieds sur sa nuque, elle tenta de s'étrangler. Cependant, le scientifique souria brièvement avant d'activer l'électricité. La bulle s'anima d'une douce poudre bleutée qui percuta les jambes de la damoiselle. Celle-ci rugit de plus en plus fort, grognant également en s'afaiblissant. L'homme blanc activa les commandes commencer son bain journalier. Deux tuyaus jetèrent de l'eau à profusion dans la sphère. Le liquide impeccable fit crier la bestiole suragitée. Elle se balança en recevant de petits chocs innofensifs. La créature donna plusieurs coups de pied sur sa bulle en commençant à tirer dangereusement sur sa chaîne droite. Les mailles semblèrent de plus en plus chevrotantes une à une. Les étranges expériences semblaietn avoir affaibli ce métal autrefois incassable. Celle-ci se brisa d'un coup sec, faisant trembler l'homme blanc. La créature se frappa immédiatement, tombant sur son ventre déjà invisible. La femme reçut de l'eau, ce qui colla ses haillons blancs à son corps, les rendant mous. La créature tourbillonna en rendant ses rayons de plus en plus aveuglants. Le scentifique retourna s'asseoir, savant les parois impossibles à ébranler. Au bout de sa chaîne, les mailles retournèrent la créature en sesn contraire. Celle-ci sentit au bout de ses pieds. Sous cette contraction, la créature empoigna sa chaîne puis redressa son corps contre la paroi supérieure de la sphère. Maltraitant son dernier lien, la créature d'expériences reçut des foudres du scientifique qui ne cessa plus d'appuyer sur le bouton. Elle fixa l'eau liquide, celle-ci ressemblait à une gelée géante prête à l'avaler. Un océan de bave rempli de jujubes en unicornes qui voulait la transpercer. Des serpentins marhcaient sur sa chair, mettant des serpents sous ses bout de vêtements. Elle appuya ses pieds contre la paroi pour éviter le bain forcé et se déchaîna en tirant davantage. La chaîne cassa. La carcasse de la créature tomba dans l'eau. Ses manches battaient. Ses boucles volaient en spirales voluptueuses. La Chose sortait son faciès de l'eau pour respirer, plutôt tenter. Pleine d'une animation toujours sauvage, la fillette prit un long souffle et se laissa couler profondément. Des tons violacés envahirent la pièce soudainement, ce qui créa une légende presque féérique en cet instant. La créature ouvrit ses yeux et s'employa à fixer ce qui aurait dû être un ciel étoilé. Elle pouvait sentir l'état nocturne du monde entier, les esprits rêveurs. Elle tendit sa main vers le haut, criant sous l'eau. Le liquide trembla lui aussi, créant un impact incroyable contre les parois. Son buste était quelque peu visible quant à sa blancheur et à son tissu de soie très mince. Tel qu'un ange déchu, le tissu blanc enchevêtré à ses rayonnements ressemblait à des plumes abyssales gigantesques qui se mouvait sous l'eau. Le scientifique enleva le casque de sa tunique. Il afficha un air hébété devant la créature qui, pour la première fois, manifestait un quelconque désir. Ce trésor d'exprériences, d'essais, portait l'échantillon nécessaire pour recréer le poivre cancreux. Pourtant, rien ne réussissait à réveiller les gènes de cet élément. La créature rugit une fois de plus, ouvrant l'accès à la partie supérieure de son faciès innocent. Un front discret montrant le préambule d'un regard rempli de contes de fées, dont les monstres fantastiques jetaient des tornades de bulles irisées. Ses pupilles amandes aux grandis cils pondait des énigmes indéchiffrables. L'homme se prit à la contempler, dégoûté de tout ce qu'il voyait en cette créature dénudée de la moindre humanité. La créature croisa le regard de son dominateur, et enroula le foulard sur son crâne. Sa chevelure vint dissimuler son visage indéfiniment. Ainsi, un rugissement double se fit entendre au travers des hauts-parleurs. Le scientifique prit la pince manuelle pour saisir la créature devenue fragile. Son corps replié en cocon, ses membres saignants aux plaies ouvertes. Les pattes de la pince la sortirent de l'eau en tenant sa taille. Un choc traversa son corps, laissant voir des étincelles azurées de son poste. La bête prit son souffle avant de rugir à en faire frémir le scientifique. La jouvencelle tourbillonna encore pour se libérer de la pince et retomber dans l'eau. L'exprérience continua ainsi. La pince cueillait la cràture à chaque cinq minutes pour lui infliger quelques volts parfois au points de la griller. Elle tremblait de ses débtattements, grognait férocement en conservant un visage absent. L'objet, la chose qu'elle était ne devait donc pas ressentir les autres par les yeux. La bête se mit à se débattre quand elle retombait dans l'eau. Elle demeurait malgré tout au fond de la bulle.

Un choc électrique avait ouvert le haut de son dos, déchirant une partie de son haut sur le côté droit. La bestiole inhumaine goûta la saveur de son sang diluée dans l'eau et le savoura. La créature devint inerte et fade, aussi chétive qu'un jouet pour enfants. Colorée comme mille étoiles, la pince la blessa encore vant de la relâcher. La bestiole ne vit guère que le scientifique avait passé de l'autre côté de la porte en se permettant une petite pause. Il avait tourné plusieurs angles avant d'arriver à l'extérieur. Elle sentait qu'elle s'afaiblissait, mais sa gorge continuait de murmurer ses bestialités. Seule dans la pièce, la créature sentit que la pince venait la chercher. L'homme blanc éloigné, il fumait derrière l'établissement. La jouvencelle tourna sur elle-même pour faire face aux pattes et les bloquer de ses membres. Tirée hors l'eau, la créature femelle surmonta l'objet mécanique. Ses griffes dures aggripèrent la pince, mais elle ne vit plus rien. Rien. Rien. Rien. La bête toucha son coeur, au centre de son thorax, et ne sentit plus ce qui l'animait. La carcasse s'échoua dans l'eau, percutant la paroi. Ses poumons se gorgèrent d'eau. Son visage voilé volé au monde pour conserver ce secret en toute sécurité. Sa peau rayonnait de toutes les variations célestes, de toutes les nuances de l'imaginaire. Les aciers venaient résider autour d'elle, pendant que des tempêtes métalliques rappelaient les sables mouvants des déserts sous les zéniths brûlants d'un soleil de Suna. Elle chuta, impertubable statue fragile, et se fracassa contre le verre. Ses mains caressèrent le verre puis sont buste pour le recouvrir. Retenant ses haillons, la jouvencelle d'un coup de jambe remonta à la surface. L'expérience semblait fini. Le scientifique semblait absent. La jouvencelle se borda elle-même dans la masse liquide. Ses boucles valsaient parmi les bulles, ses manches l'habillaient d'une fragilité méconnue. Sa tête sortit de l'eau, recouverte du voile qui tomba loin d'elle. Shana libéra son visage, ouvrit ses yeux pour fixer le vague. De ses lèvres aux couleurs rosées et vermeille, des notes cristallines dépourvue de toute bestialité murmurèrent. Le chant, presque inaudible, semblait tissé de la sensibilité. Elle tourna quelque fois en chuchotant son étrange incantation sans syllabes. Son ouïe perçut des pas, c'est alors que la créature enfouit son faciès entre ses mains ayant repris le voile de soie pour se recacher. Un grognement s'ensuivit, pendant que le corps fragile de la jouvencelle retombait dans les enrailles de sa bulle, de sa prison de bulles.



Ce qui se cache sous la bête, c'est la blessure.


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Uchiha Itachi
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MessageSujet: Re: Le délice de son supplice [PV Itachi]   Le délice de son supplice [PV Itachi] EmptyMar 27 Juil - 18:42



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Le délice de son supplice [PV Itachi] Pourrpitachietkisameauv
Ses lèvres finement rosées, s’entrouvrirent silencieusement. Toutefois, l’apathique personnage se tût. Un jeu de rôle contraignant, tentant vaguement d’échapper à la censure de son hôte expert. Délicatement, les paupières d’une légende se rabattirent, fermant les yeux sur ces lointains vestiges, ceux-ci, s’évertuant à ranimer ce cœur longtemps demeuré dans l’abyssale noirceur de son Âme. Une nitescence crépusculaire s’abattit alors sur les vastes contrées du pays du feu, alternant l’azur du firmament en une touche vermillonne symbolisant le trépas de l’astre solaire. Un raclement de la gorge succéda aux prémices de la chute de l’étoile. Il était donc déjà temps. Ignorant brièvement cette mise en garde de son comparse, le protagoniste maintint son mutisme, le zéphyr constant, s’éternisant à caresser les traits de son faciès obombré. Puis, subtilement, l’homme rompit son éphémère cécité, son regard assombri de son cheminement tortueux, s’apposant une fois de plus sur cette toile qu’il n’avait de cesse de contempler. Le village caché de la feuille, Konoha Gakure no Sato. S’élevant au dessus de ces gargantuesques remparts mystifiant l’agglomération, deux mystérieuses silhouettes ombragées contemplaient sereinement le village, leurs pupilles voilées, planant sur les habitants de ce noble bourg. Valsant sous la fébrilité du souffle de l’ouest, le blason des Renégats de la lune rouge ornait l’accoutrement des sibyllins personnages, tandis qu’un couvre-chef aux importantes proportions laissait bercer des lamelles de tissu devant le visage des étrangers. L’homme, dont la carrure s’imposait face à celle de son collègue, détourna son attention de la commune, l’apposant sur le jeune membre qui l’accompagnait. Le dialogue n’eut guère été nécessaire, le regard aigre du second personnage glissant lentement à sa droite, captant le mimique perceptible à travers le voile qu’arborait son partenaire à son instar, Hoshigaki Kisame. Soucieux de l’heure tardive et certainement lassé de contempler le quotidien de ces hommes sans intérêts, l’humanoïde exprimait son désir de reprendre la route à son binôme. Sans un mot, le prodigieux compagnon de l’épéiste ramena ses pupilles écarlates à ce quartier qui fut autrefois sien, ce quartier qui fut autrefois le repère des possesseurs de ce regard flamboyant qu’il arborait, ce quartier qui fut autrefois, le témoin de l’extinction d’un clan. Abandonné de tous, dénué de vie, ce qui autre fois était la demeure d’un glorieux clan, n’était aujourd’hui qu’un vestige ruineux et poussiéreux, les cendres d’un passé révolu et lointain. Pourtant, était-ce bien malheureux, n’était-ce pas ce que les hauts dirigeants de ce bourg souhaitaient par-dessus tout? Fronçant légèrement les sourcils à l’évocation de cette réalité, les yeux cramoisis de l’héritier déchu se logèrent sur cette tour abritant le monarque de Konoha. Avaient-ils seulement le moindre remord d’avoir ainsi laissé fuir cet unique être qu’avait laissé le Nukenin à leur soin? «Très bien, Kisame. Nous partons.» Souffla le détenteur du Dojutsu pourpre, troublant ces pensées contraires aux idéologies de son personnage, tandis que son faciès reprenait gracieusement son aspect marbré. La satisfaction du requin s’incrusta au creux de ses traits, sa dentition bestiale émergeant en un sourire sournois et ravi. L’astre solaire s’inclina à la béante nuit, sa clarté au teint corail, succombant aux ténèbres abyssales s’étant emparés de l’olympe en pleine permutation. N’hésitant guère un instant, la main à l’épiderme bleuté de l’être aquatique s’apposa contre son couvre-chef, tandis que le membre de l’Akatsuki s’élançait la tête la première du haut de ces gigantesques remparts de bois. La seconde caricature, quant à elle, demeura un instant, immobile, les prunelles rivées vers les quelques effigies des kages précédents taillées à même la pierre de la chaîne montagneuse. L’Ange déchu dévisagea vaguement le troisième faciès émergeant de la paroi brute. Le sandaime fut un être bon. Sa dextre, émergeant de l’emmanchure de la toge sombre tachetée de cumulus pourpres, ses doigts vernis s’apposant contre le chapeau de paille, Itachi se laissa choir depuis les remparts. Tel un Archange échouant des cieux, le Renégat de la lune rouge capitulait aux lois de la gravité, sa frêle carcasse chutant de dos, tandis que les ondes venteuses se fracassaient vainement contre le corps de chair, ne faisant que tenter de freiner sa course. Sous la tendre lueur blanchâtre, émergea le regard de l’assassin, l’être semblant captiver par la splendeur de l’étoile, cet astre qui l’avait accompagné dans son massacre il y a de cela tant d’années. La brise caressait les membres du déserteur avec ferveur, tandis que ce dernier s’abandonnait lentement à cette tendre sensation de bienfaisance, reniant ce monde au sein duquel avait naquit cet être froid qu’il était aujourd’hui, reniant son existence même. Ce serait si simple. Âprement, le spadassin de Dieu influa sa chute, son corps se retournant progressivement afin de faire face à cette descente tumultueuse. Ne laissant alors qu’un bref touché de ses pas contre la paroi de bois du rempart, le prodigieux Shinobi s’exécuta d’une légère impulsion à ses orteils. L'élégante silhouette s’éjecta alors, achevant son parcours d’une cabriole qui le ramena aux côtés de son partenaire. Puis, maintenant le mutisme de leur duo, les deux caricatures pénétrèrent la forêt, s’amenuisant dans les ténèbres de la nuit.
¤-|- Si tu veux me vaincre, haïs-moi! Fuis...fuis, et survis par tous les moyens... -|-¤
Le délice de son supplice [PV Itachi] Pourrpregardsharinganit
Une fois de plus, les traits impassibles de l’apathique personnage vinrent à se troubler. Ces quelques syllabes, gravées en son être, tout comme elles l’étaient en son cadet, eurent scellé le funèbre destin du Clan de l’éventail il y a de cela trois années. Ces quelques mots qui surent attiser la frénésie de son juvénile frère, ce dernier, engouffré dans les chimères d’une vengeance à l’éclat écarlate. Puérile, fut une telle réplique de la part du jeune Uchiha, tant, qu’il en fut si facilement prévisible. Du coin de son regard de prédateur, le requin de la lune rouge contemplait son illustre partenaire, tentant vainement de discerner les réflexions troublant ainsi le possesseur du Sharingan à chacun de leur passage à travers les contrées du pays du feu. Lorsque, soudainement, un cri strident fendit les cieux jusqu’aux deux Renégats arborant la toge de l’Akatsuki, figeant ceux-ci dans l’immédiat. L’Uchiha mobilisant ses pupilles cramoisies dans le néant, Kisame scrutant les cieux ténébreux d’un air serein. Bien que feignant l’ignorance, les deux comparses eurent constaté la lointaine construction d’où avait émergé cette sonorité aux allures mi humaines, mi bestiales. Toutefois, une familière atmosphère s’était incrustée entre les deux Nukenins. Perturbant alors son état statuaire, l’humanoïde à l’imposante carrure incrusta à nouveau un sourire au creux de ses traits amphibiens, détournant les pupilles de l’olympe, tandis que son crâne se retournait lentement vers son partenaire de route. L’héritier, quant à lui, ne daigna faire de même envers son binôme, son Dojutsu luisant éternellement au creux de son regard, continuant de fixer le vide. Le zéphyr vint balayer les deux silhouettes de son passage immatériel, repoussant éphémèrement les lamelles voilant le faciès des deux protagonistes, Itachi détournant son regard, laissant un bref contact visuel entre les deux compères se connaissant par cœur mutuellement. La fraîche brise s’éloignant, le voile retombant, le requin laissa un vague timbre incompréhensible s’extraire de ses lèvres tel un soupir, suite à quoi, il reprit sa progression, abandonnant le déserteur de la feuille. Les mots n’eurent guère été nécessaires entre l’homme et l’humanoïde, celui à l’épiderme bleuté, sachant pertinemment maintenant que l’Uchiha préférait s’occuper lui-même des évènements influençant sur Konoha, cette agglomération pour qui il avait dû tout sacrifier. Son ouïe captant les pas de Kisame s’éloignant à son dos, le spadassin reprit sa marche, le regard rivé vers l’ouverture se dessinant au sud du bâtiment.

Les pas claquèrent, les regards tournèrent. Émergeant de l’entrée Sud, un illustre Mercenaire de la lune Rouge.

Le délice de son supplice [PV Itachi] Pourrpchapeaudepaille
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Senshou Shana

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MessageSujet: Re: Le délice de son supplice [PV Itachi]   Le délice de son supplice [PV Itachi] EmptyVen 30 Juil - 1:01

Like a Star @ heaven De douleur en douceur Like a Star @ heaven



Les yeux de sang
Dévorent les cieux
Noirs d'encens
Du suspicieux.

.




Il fut étonnant pour la belle de trouver un brin de confort dans cette marre gigantesque de jujubes unicornes multicolores. Les liquides translucides parcouraient chaque partie de son corps pour le glacer immédiatement. Les jets frappaient son dos sans remords, tandis qu'elle se contentait de mettre ses bras sur son crâne pour se sentir à l'aise. Elle chantonnait en son for intérieur une musique antérieure dont les émanations cristallines rimaient avec chaque firmament du moindre reflet de son être. Elle enrubanna de noir son visage tout en laissant son immense chevelure pendre dans son dos. La créature soudainement à moitié aquatique s'amusa à étendre ses jambes puis se laisser caresser perversement par l'eau. La jouvencelle se retrouva concassée et désarticulée en s'étendant ainsi dans sa bulle. Des pas sombres brisèrent son petit jeu auquel elle mit scrupuleusement fin. Elle s'accouda à jolie paroi de verre en posant ses pieds sur sa tête. Son bassin étonnamment prédominant réussissait à se maintenir de lui-même. Ses poumons peinaient à conserver des bribes d’air, sauf que la jouvencelle était habituée à ces climats hermétiques aux températures esthétiques. Elle croisa ses jambes par-dessus sa tête. Son crâne, noir comme le charbon d’une soie délicieuse, contemplait directement le scientifique. Celui-ci sentait la cigarette sur chaque parcelle de son corps. Des fioles dans ses poches, dont une plus importante, se cognaient entre elles à chaque pas qu’il effectuait en provoquant un cliquetis énervant. Il avait scellé lors de sa marche son casque protecteur. Il était seulement possible d’entrevoir son regard fatigué. Des demi-lunes seyaient ses paupières inférieures, alors que ses pupilles témoignaient à la fois indifférence et absence. Revenant à ses occupations journalières, l’homme un peu grassouillet détailla la bestiole. Sa maigreur, sa pâleur, sa luminosité intense et inimaginable, son faciès émacié semblait scié d’un sentiment neutre et doux. Elle ne faisait rien, ne disait rien. L’humanité de la créature femelle ne se manifestait jamais. Il déposa sa cigarette dans le cendrier, avant de laisser traîner son briquet sur la table. Près de la table des commandes, le scientifique lâcha un étrange sourire. Ses doigts caoutchoutés valsèrent sur les boutons multicolores, pendant qu’il reprit son manège. Ne devait-il pas dompter cette bête sombre comme la mort elle-même? Une froideur immortelle commença à se propager au-dessus de la femelle qui ressentit aussitôt chaque effet. Elle retomba au fond de l’eau lors d’un long soupir qui signifiait sa prochaine exécution. Positionnée en bébé, la jouvencelle frotta ses cuisses contre les grillages au fond de sa bulle pour se les écorcher davantage. Celle-ci sentit bientôt ses poumons se remplir entièrement. La créature sentit la température meurtrière l’envahir jusqu’à la plus infime de ses entrailles. Son cœur bondit sur lui-même, pompant le sang avec une lenteur effroyable. Le docteur remarqua le repos exigé de la petite étoile immonde au centre de sa sphère, et il grimaça de plaisir en voyant ses injures. Il descendit une fois de plus la température. Balançant ses mains sur les touches, l’homme de science ne remarqua guère les claquements, les sons étranges qui provenaient du couloir. Il fallut que des yeux ombragés par un grand chapeau conique viennent hanter son laboratoire. Ceux-ci, aussi profonds et abyssaux que les cendres en fusion près des flammes, semblaient connaître et cacher des histoires inimaginables. L’homme vêtu entièrement de blanc se retourna. Il déposa ses yeux d’homme remplis de colère sur l’Autre. L’Autre, le voilà. L’invité qui deviendrait sa prochaine victime. L’Autre venait s’offrir au scientifique sur un buffet aux couverts en argent. Il le mangerait avec une délectation sans précédent. Il s’imaginait déjà mettre ses mains sur un autre cou pour le tordre. Extraire du jus humain était un acte si ravissant pour cet homme de science quelque peu dérangé. Il remarqua soudain son habillement particulier. L’homme se questionna sur l’application soignée de ce beau vernis à ongles sur des mains presque féminines. Une bague rendait le tout encore plus mystérieux. C’était à la vue des nuages rouges sur sa toge noire que le scientifique comprit enfin qu’il ne pourrait absolument rien contre lui. Cela devint la fatalité du pauvre trentenaire qui recula de plusieurs pas. Il se surprit étrangement à reculer jusqu’à la bulle aux mille couleurs. De l’extérieur, la vue de celle-ci donnait l’impression d’accéder en direct au décès d’une étoile filante. Dès le centre, des rayons fantasmagoriques créaient des contes de fées. Ils voletaient dans l’eau comme des papillons étincelants pour mourir dans de petites flammèches exquises. Le scientifique remarqua donc l’odeur de sucre, mais il oublia ce détail pour noter le moindre mouvement de son cher invité inattendu. Le scientifique ne dit rien, mettant inopinément sa main dans sa poche en plastique. Le corps massif du scientifique dissimulait la carcasse chétive qui se dissimulait dans la bulle. Une fiole jaillit au-dessus des têtes pour redescendre spontanément. Dans un fracas épouvantable, la fiole atterrit sur d’autres. Le scientifique échappa un petit rire dément, tandis que son dos cogna contre le verre très épais de la prison de la femelle. Elle se redressa sur son ventre, ondulant sa colonne comme un serpent pour approcher sa bouche de l’homme de science. C’est alors qu’un miaulement strident ébranla la structure de translucide. Des structures plus fragiles éclatèrent. Ce scintillement cristallin était si aigu que des fioles au côté est de la pièce éclatèrent. La jouvencelle commença à sentir un reflux de son ectomac. De la poudre blanche vint teindre sa langue, pendant que ses rayonnements se faisaient plus intenses. L'homme en blanc réactiva la pince électrique qui descendit vers la créature, pleine de foudres ravissantes.


Ensuite, devant le scientifique en combinaison hermétique, les morceaux du cadavre de la fiole claquèrent sur le carrelage. Chaque parcelle se consuma d'une fumée violacée qui tourbillonna dans les airs. Le scientifique s'avança légèrement, prenant une bonne respiration de son air intime à lui-même. Il se retourna vers la chose inhumaine dans sa bulle pour remarquer un phénomène des plus inatendus. La voix de la créature commença à ce calmer, pendant que la tige métallique mangeait son corps. En vérité, l'appareil sembla bloquer quelques secondes pour se mettre à tourner très très vite. La jouvencelle était suspendue à la pince tourbillonnante et nichait sa tête entre deux pinces sur puissantes. Le mécanisme tournait tellement vite en supportant la créature lumineuse qu'un effet multicolore nuançait la pièce entière. Les rayons tournaient autant que lors d'une fête. Des miaulements persistèrent, moins stridents et plus secrets, comme si un long monologue subsistait. La femelle, après ses tornades, libéra son étreinte avec la pince. Le voile retenait toute les pattes de la pince par le biais d'un noeud complexe fini en une somptueuse boucle. La créature semblait s'amuser, considérant le vif rosée de se joues. Ses yeux, dépareillés d'un bleu métallique et glacial avec une soeur de flammes vermeille, semblait comme des confitures de pétales. La Chose ne portait toutefois aucun sourire. Elle se contentaitde se laisser couler dans l'eau tel qu'un paresseux se couche dans un arbre. La fumée voletait, douce et innofensive, remplissant le moindre recoin d'air. Elle semblait dévorer l'oxygène pour l'infecter. Cette odeur étrange, l'homme de science la connaissait très bien. Il avait rêvé d'exploser ce petit bout de verre depuis tant de temps. Il avait la mère du poivre cancéreux. Il avait la source infaillible. Il ne manquait plus qu'à l'extraire. Or, définir avec exactitude la façon de trouver son extraction demeurait impossible pour son esprit rationnel. La fumée s'approchait dangereusement des deux hommes. Celles-ci, en quelques secondes, prenait de plus en plus d'ampleur. Elle finit par enivrer les deux âmes présentes de la pièce. La cérature remarqua l'apparence étrange à l'extérieur de sa bulle puis continua à se laisser cuire au froid. Le scientifique s'empara d'une seringue. Il la dissimulait dans son dos, alors que la jouvencelle observait tout d'un oeil relativement morne. Allant cueillir son visage de ses mains, Shana cacha son visage en murmurant sous l'eau. Des bulles s'échappèrent du petit corps qui finit par ne plus se manifester. Son thorax demeurait bas, alors que ses haillons étaient anéantis sur le côté droit. Ceci dévoilait son épaule à la fois resplendissante d'un miel orangé et d'une poudre bleuâtre. La créature avala encore de l'eau, se finalisant à s'abandonner ainsi. Ses lèvres bombées et cernées de fleurs de cerisiers semblaient embrasser le liquide. Les jujubes avaient fondu en une sorte dgelée gigantesque qui gobait tout. Une plage de sable violet accaparait les deux jambons de l'autre côté. Toutefois, hormis le bipède ressemblant à un rouleau de papier pour les affaires crasseuses, un gros matou était dans la porte. Il voyageait sur un petit nuage rouge en supportant fièrement son destrier au sombre regard. La créature observa le félin avec attention, détaillant même ses griffes parfaitement vernis. Son pelage était soyeux comme celui d'une panthère, ce qui donna à la bête de la bave noire à la place. La créature ne pouvait plus bouger, sentant le froid jusque dans les nerfs de son cerveau défectueux. Cette femelle possédait de nombreux défauts de fabrication, dont sa déformation visuelle. À la suite d'une étenrelle attente, la jouvencelle comprit que le Super Matou Sombre était bipède lui aussi. Le rouleau en plastique blanc jouissait avec sa seringue devant l'adversaire Super Matou Sombre au joli vernis. La petite avait oublié la fumée. Celle-ci avait involontairement mis sa tête à l'envers, repoussant ses longues mèches roses et mauves au sol. Revenant à ses boutons personnelles, le scientifique détailla son invité mystérieux en pyjama noir à nuages rouges. N'ayant guère sorti depuis la dernière année de son antre à expériences, celui-ci s'approcha de l'entrée. Il tapotait toujours son casque, s'assurant de ses réverves d'air pour ne pas être infecté. Il lécha sa lèvre inférieure en attendant des résultats concluants. Il frémissait de tout son être, alors qu'il songeait à sa bestiole incarcérée. La petite semblait avoir changé de multiple, encore, perdant de plus son peu de vêtements. La dentelle sur ses hanches glissait à quelques fils près. La créature passa une main sur son épaule nue qui commençait à libérer son dos. Des cicatrices vêtissaient sa peau colorée. La bestiole osa remonter à la surface lassement. Elle cracha l'eau, avant de poser son nez altier sur la vitre. De la buée commençait à apparaître à cause de la froideur mêlée à son souffle. La petite fille aux yeux violets et noirs pencha la tête de côté en observant de côté Super Matou Sombre. Il avait pris une forme humaine vêtu d'un pyjama pour femme avec un cornet de crème glacée sur la tête. La Chose souffla sur le verre pour créer un voile d'humidité entre elle et leur monde. Toutefois, le scientifique lâcha de sa voix nasillarde:


« Tu es déjà mort. C'est dommage. »


La créature se rappela enfin la présence des fées violettes dévastatrices. Elle s'éloigna en se laissant totalement couler. Se mouvant sur elle-même, la jouvencelle se noya dans les jujubes devenus rouges par sa peur. Ses gémissements devinrent une fanfare de notes critallines qui agrémentèrent l'ambiance de plus en plus. Ce fut une portée de rugissements qui firent trembler le scientifique qui manqua chanceler en entendant ces fameuses vibrations d'aussi proches. Il comprit ainsi la voix humaine mécanisé en grumeaux bestiaux assoiffées de sang. La jeune fille se mit à se mordre elle-même. Ses bras, ses jambes, sa chevelure. Elle se laissait de profondes morsures, tandis que son crâne s'enfonça volontairement dans la grille. La carcasse de la petite inhumaine demeura totalement vide. Elle remonta vers la surface grâce à son poids de plume, pendant que sa chevelure noire dissimulait entièrement son faciès angélique. Des voluptés sanguines s'échappaient d'une plaie gisant sur son crâne. Son bras droit avait perdu des brins de peau, alors que sa peau continuait perpétuellement à rayonner. LE scientifique sourit en entendant la crise de la jouvencelle qui avait finalement abandonné son mauvais caractère. La seringue en main, il veillait sur chaque geste qu'il pouvait percevoir malgré son manque de dextérité. Le corps de Shana commença à tourner, malgré son inconscience. La bulle créait un mouvemment d'eau qui portait le corps en son centre. La fumée avait atteint le couloir, mais elle ne dépassait guère son extension de quinze mètres. SOn ampleur violacée colorait la pièce nuancée de la boule disco bestiale au sommeil sanglant. Une poudre se déposait dans les voies nasales, alors que le scientifique commençait à manquer d'air. Il en vint à retenir sa respiration le plus longtemps possible afin de ne pas perdre ses années de recherche et d'expérimentation. Ses doigts s'enfoncèrent dans le plastique de ses gants puis de sa chair. Le scientifique finit par perdre patience et lancer une seringue directement vers l'ombre de la porte. Pendant ce temps, une jouvencelle au centre d'une bulle tourbillon rêvassait à un Super Matou Sombre qui engloutissait de son précieux nuage rouge volant un gigantesque rouleau de papier blanc pour les affaires crasseuses. Devant cette scène, une petite fille brodait des onfles incarnés sur une toile de peau. Une semblable à l'autre cueillait des doigts dans l'herbe rouge. Sa tête saignait légèrement, mais son corps abondamment. Caressée par les liquides, ses lèvres exprimèrent une moue confuse et doucereuse.

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